NON à la libération de l’ASSASSIN-égorgeur de Chapour BAKHTIAR, dernier Premier ministre du Chah d’Iran

NON à la libération de l’ASSASSIN-égorgeur
de Chapour BAKHTIAR, dernier Premier ministre du Chah d’Iran

N’ASSASSINEZ PAS CHAPOUR BAKHTIAR UNE SECONDE FOIS !
Contre l’évasion « LEGALE » d’un monstre TERRORISTE islamiste incarcéré en France

Le plus BARBARE et le plus cruel des terroristes ISLAMISTES, l’assassin Ali Vakili Rad, condamné à PERPETUITE en 1994, et détenu dans la même prison que son confrère terroriste Carlos converti à l’islam de Ben Laden, pourrait fort bien à brève échéance, comme jadis son acolyte islamiste Anis Naccache, être libéré, de manière anticipée, pour être renvoyé, le jour même, à Téhéran, i.e. chez ses commanditaires ayatollesques qui le réclament, le proclament et l’acclament, au mépris de tout sens moral, tablant sur la pusillanimité et le cynisme supposés de leurs interlocuteurs français.

Inexpiable est l'innommable CRIME de terrorisme d’Etat de ce BARBARE islamiste, agent patenté de la République islamique (cf. enquête magistrale menée par le juge anti-terroriste Jean-Louis Bruguière) en mission commandée, venu tout droit de Téhéran pour égorger au couteau, avec une SAUVAGERIE inouïe et une BARBARIE sans nom, Chapour Bakhtiar, le plus civilisé et le plus francophile des résistants antitotalitaires iraniens, opposant laïciste contre-révolutionnaire, pourfendeur du TOTALITARISME islamo-révolutionnaire, dernier Premier ministre du Chah d’Iran, et à ce titre, ultime rempart en 1979 contre la Révolution islamique de l’ayatollah Khomeyni et de ses séides, combat qu’il poursuivit en exil, JUSQU’A SON DERNIER SOUFFLE, en tant que réfugié politique en France, sa patrie d’adoption.

Faut-il rappeler aux amnésiques qui fut l’opposant perse Chapour Bakhtiar, objet de tant de vils marchandages ante-mortem (dont son assassinat programmé fut l’enjeu) et post-mortem (Naccache, Vakili Rad), égorgé sur le sol français par les sbires des ayatollahs qui lui tranchèrent la gorge et les mains?

Peut-on oublier que cet aristocrate perse raffiné et généreux, doublement diplômé de la Sorbonne en Philosophie et Droit, pétri de culture française autant que de poésie persane, plus persan que les Persans, mais plus français que les Français, était si éperdument épris de la France qu’il s’engagea dans l’Armée française (plutôt que dans la Légion Etrangère) pendant la Seconde Guerre mondiale, fait unique et sans précédent, du fait de sa qualité d’étranger, dans les annales militaires (dérogation accordée en reconnaissance de son indéniable amour de la France), et qu’il poursuivit le combat en s’engageant dans la Résistance à l’Occupation nazie par refus du défaitisme ? Qu’il fut un homme d’honneur et d’engagement foncièrement intègre et légaliste, à l’égard duquel la France doit plus qu’un respect infini, en tant qu’engagé volontaire de l’Armée française disposé à tomber au champ d’honneur pour sa patrie d’adoption française en 1939-40, en tant que Résistant prêt à verser son sang et sacrifier sa vie pour libérer la France de l’Occupation étrangère nazie. Bref, un héros auquel la France est donc liée, pour toujours, par une dette MORALE dont elle ne s’est jamais acquittée, bien au contraire (cf. la sordide et infâme affaire de la libération du commando terroriste Naccache, auteur d’une première tentative avortée, mais sanglante, d’assassinat à l’encontre de Chapour Bakhtiar à Neuilly en 1980).

Si d’aventure, par quelque aberration qui dérogerait à tous les principes humains existants, la justice de la République française (qui, deux poids deux mesures, refuse, de libérer d’autres terroristes tels que le chrétien libanais Georges Ibraham Abdallah, emprisonné depuis 26 ans, ou le terroriste marxiste athée d’Action Directe Jean-Marc Rouillan, arrêté il y a 23 ans) se déconsidérait en accordant le privilège discrétionnaire d’une libération anticipée effective au terroriste islamiste Ali Vakili Rad, barbare qui, comme Nacache, n’a jamais éprouvé le moindre regret et, pire, n’a cherché qu’à salir le nom de sa victime par-delà la mort atroce qu’il lui a, de ses propres mains d’égorgeur, infligé ; alors une telle ignominie reviendrait à souiller irrémédiablement l’honneur de la France en donnant raison aux islamistes, et à assassiner une seconde fois Chapour Bakhtiar, à ceci près que les ignobles assassins seraient cette fois en col blanc ou en robes noirs et rouges du sang jamais séché de Chapour Bakhtiar ; et, dans cette abjectissime hypothèse, l’on serait en droit de s’interroger sur la loyauté de la France envers ses amis étrangers les plus dévoués, et plus encore, sur la signification même des mots honneur et fidélité.

Nul doute qu’a contrario, Ali Vakili Rad sera fêté et célébré à Téhéran comme un héros révolutionnaire, plus encore que jadis le terroriste khomeyniste Anis Naccache. Car Vakili Rad a réussi là où son prédécesseur Naccache avait échoué : ASSASSINER Chapour Bakhtiar, dernier Premier ministre du Chah, irréductible opposant anti-islamiste, assassiné comme Zarathoustra à 77 ans, digne héritier et ardent défenseur des valeurs des CIVILISATIONS perse et française antithétiques de la BARBARIE misogyne islamo-révolutionnaire totalitaire instaurée par le sanguinaire ayatollah Khomeyni, l’imam de Neauphle-le-Château érigé en putatif némésis du Chah d’Iran. Face à une telle infamie, réagissons!

Initiateur de la Pétition-Appel du 8 mars 2010, Paris, FRANCE:
Shahpour SADLER, exilé perse, 77 ans,
co-fondateur du Comité international contre le terrorisme d’Etat,
organisateur du colloque commémoratif du 10e anniversaire de l’assassinat de Chapour Bakhtiar au Sénat en 2001, unique hommage rendu, en France, dans une enceinte étatique officielle à Chapour Bakhtiar.